DMO: pédagogie

Meeting Boson

L’anonce de la découverte du boson de Higgs au CERN, juillet 2012

Pédagogie inverse ou  Inverted Pedagogy en entreprise (et en classe!)

Voir le site wiki de DMO: un monde de connaissances

Voici ce qu’on peut lire sur le site du MIT: «The experience of case-based learning is expected to motivate students to identify and pursue the disciplinary learning and disciplined inquiry they need to achieve the competency and impact they desire. (This inverts the conventional curriculum in which command of fundamentals is a prerequisite for application of our learning to real cases.)».  Et ailleurs (http://www.infobourg.com/2012/03/22/pedagogie-inversee-2/): « C’est une philosophie et non une méthodologie, note Bobbi Jo Carter, coordonnatrice de l’apprentissage numérique au collège. Chaque milieu peut l’adapter à ses besoins. » Le principe de base reste que toute la partie magistrale est dispensée de façon électronique (capsules vidéo, de lectures, de visites virtuelles, etc.) et le temps de classe est consacré au travail d’équipe, aux discussions et aux activités d’apprentissage actives.  Voici une autre réflexion à ce sujet (http://www.forbes.com/sites/karlmoore/2011/09/07/is-the-corporate-university-dead/): «Decades ago, Peter Senge talked about the “learning organization.” This is now truer than ever. The corporate learning departments of the future must cultivate a “culture of learning” throughout the organization. The keys to this culture include encouraging reflection, enabling knowledge sharing, and instituting learning as a continuous process. While there may still be value in formal classroom learning, more of it will need to happen informally, through initiatives like webinars, brief workshops, and ING-style Knowledge Cafés. Companies will need to transform learning from a formal event or activity into something more akin to what is called collaborative (or social) and emergent learning. These types of initiatives focus on topics that are highly relevant and in-the-moment for managers and workers, and where the sharing of ideas and exchange of opinions lead to creativity and innovation».

C’est ce que je m’efforce de pratiquer dans mes cours de maîtrise à l’aide de l’approche ontologisante que j’ai documentée avec l’aide du professeur Lemire (Ph.D. Linguistique) sur le wiki DMO, grâce à une subvention FODAR (2011-2012) obtenue avec Daniel FORGUES de l’ETS.

Quelques exemples:

  1. Analyse de risques de projet
  2. Architecture organisationnelle
  3. Gestion de portefeuille
  4. Tableaux de bord
  5. Facteurs critiques de succès
  6. BIM et modélisation organisationnelle
  7. Gouvernance des infrastructures TI

La DMO -Démarche Méthodologique Ontologisante- est comme une promenade le long d’un chemin qui favorise l’apprentissage de connaissances et de savoir-faire. Et cela, principalement dans le but d’entreprendre la construction d’un monde de connaissances et de partager en équipe -une communauté d’apprentissage- des savoirs, des savoir-faire et des savoir-communiquer. Ces pistes de réflexion que nous proposons sont situées à l’intersection de deux méthodologies, celle de la DMO et celle du Catalyseur de communauté de l’USAID ; cet instrument didactique, rendu accessible en ligne, est présenté par l’USAID. Cet outil a été développé pour aider ceux qui veulent mettre en place leur propre communauté, qu’elle soit communauté de pratique, de savoirs, ou autres. Nous intégrons les quatre étapes à franchir (analyse, design, construction et implémentation) pour établir les fondations d’une CdP -communauté de pratique- à quatre niveaux de développement des connaissances (des objets choses, des objets acteurs, des objets actions auxquels sont associés des technologies et des scénarii au sens informatique du terme). Dans le contexte du FODAR (Fonds de développement académique du réseau), ce projet «s’imbrique dans la continuité des actions stratégiques de l’Université du Québec portant sur l’intégration des technologies de l’information (TI) dans l’enseignement universitaire. Fort de son succès à l’ÉTS, la communauté de pratique pour l’utilisation des TI dans l’enseignement, C-UTILE, cherche à étendre son principe de collaboration entre professeurs hors des frontières de l’établissement ÉTS». Cette initiative a pour fin de rendre les enseignants parties prenantes dans le processus d’amélioration de l’enseignement et de l’apprentissage à l’aide des TI. «Les participants à ce projet sont l’ÉTS, l’UQAM et l’UQAC» et l’UQAR. (Tiré en partie de PROJET de réseau de partage des pratiques et connaissances dans l’utilisation des technologies de l’information et des communications en enseignement. ÉTS, UQAM, UQAC, Septembre 2011)